jueves, 11 de marzo de 2010

Les pérégrinations S.B. 3.31.47

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Le bulletin de
"LADK ou les Ami(e)s de Krishna"
Dédié à Sa Divine Grâce A.C. Bhaktivedanta Swami Srila Prabhupada
Fondateur du mouvement Hare Krishna


Nouvelle du Jour.

Jeudi le 11 mars, 2010.
Les pérégrinations.

Une fois par semaine, vous recevrez à la Nouvelle du Jour, une partie de l'histoire de "Les pérégrinations de l'âme incarnée selon Sri Kapila". Découvrez vraiment ce qui se passe lorsque se fabrique un nouveau corps dans le ventre d'une nouvelle mère. Ces textes sont puisés dans le troisième chant du Srimad-Bhagavatam. en cliquant ici.

VERSET 47

tasman na karyah santraso
na karpanyam na sambhramah
buddhva jiva-gatim dhiro
mukta-sangas cared iha
Par suite, nul ne devrait voir la mort avec horreur, ni se laisser prendre à définir le corps comme étant l'âme, ni jouir de façon exagérée des biens nécessaires à la vie. Réalisant sa vraie nature, l'être distinct doit évoluer en ce monde, sans attachement et en restant fixé sur son but.

TRADUCTION

TENEUR ET PORTEE

Tout être sain d'esprit et ayant compris la philosophie de la vie et de la mort ne peut qu'être très impressionné en entendant parler des conditions de vie insupportables et infernales que doit subir l'âme conditionnée à l'intérieur du ventre de la mère. Il faut donc trouver la clé des problèmes de l'existence. L'homme équilibré doit prendre conscience de la condition misérable de ce corps matériel, mais sans être troublé outre mesure, il doit chercher à savoir s'il existe un remède à ces maux. Un tel remède existe, mais on ne peut le découvrir qu'au contact d'êtres libérés. Il importe donc de savoir qui est véritablement libéré. La Bhagavad-gita nous l'explique: on doit tenir pour établi dans le Brahman celui qui, s'étant dégagé des lois strictes de la nature matérielle, s'absorbe de façon ininterrompue dans le service de dévotion offert au Seigneur.

Dieu, la Personne Suprême, existe au-delà de la création matérielle. Même les impersonnalistes comme Sankaracarya admettent que Narayana transcende notre univers. Ainsi, lorsque quelqu'un se dédie véritablement au service du Seigneur par l'adoration de l'une ou l'autre de Ses Formes, que ce soit celle de Narayana, de Radha-Krsna ou de Sita-Rama, il faut savoir qu'il est parvenu au stade de la libération. Le Srimad-Bhagavatam confirme pour sa part que la libération consiste à s'établir dans sa condition originelle et éternelle. Puisque l'être distinct est un serviteur éternel du Seigneur Suprême, lorsqu'il se donne avec sérieux et sincérité au service d'amour absolu offert au Seigneur, on le dira parvenu à l'état libéré. Il faut s'efforcer de rencontrer des êtres ainsi libérés, car ils ont le pouvoir de résoudre les problèmes de l'existence, à savoir la naissance et la mort.

Celui qui, en toute conscience, sert Sri Krsna avec dévotion, ne doit pas se montrer mesquin. Ainsi ne faut-il pas se vanter d'avoir renoncé au monde. A vrai dire, un tel renoncement n'est pas possible; si, par exemple, on renonce à un palais pour aller vivre dans la forêt, il n'est pas question à proprement parler de renoncement, car le palais appartient à Dieu et même que la forêt ... Le fait de changer de propriété n'indique pas le renoncement. En effet, nous ne sommes le propriétaire ni du palais ni de la forêt. Le véritable renoncement nécessite l'abandon du sentiment illusoire que nous pouvons régner en maître sur la nature matérielle. Lorsque nous nous défaisons de cette attitude mal fondée et de l'orgueil qui nous pousse à croire que nous sommes également Dieu, alors nous pratiquons le vrai renoncement. Sinon, le renoncement n'a aucun sens. Rupa Gosvami enseigne que de renoncer à une chose susceptible d'être employée dans le service du Seigneur et le refus de l'utiliser comme tel relève du phalgu-vairagya, d'un renoncement insuffisant ou illusoire. Tout appartient à Dieu, la Personne Suprême, en sorte que tout doit être utilisé à Son service; rien ne doit être destiné à notre satisfaction personnelle. Voilà le vrai renoncement. Nul ne doit vainement accroître les besoins du corps; nous devons nous satisfaire de ce qui nous est offert par Krsna sans trop d'efforts de notre part. Notre temps doit être consacré au service de dévotion dans la conscience de Krsna, car là réside la solution au problème de la vie et de la mort.

Voir la vidéo à ce propos en cliquant ici:

À continuer la semaine prochaine.
Tiré du Srimad-Bhagavatam. (Chant 3.31)


S.B. 3.31.47





Las enseñanzas del Señor Kapila sobre los movimientos de las entidades vivientes

VERSO 47


tasmän na käryaù santräso
na kärpaëyaà na sambhramaù
buddhvä jéva-gatià dhéro
mukta-saìgaù cared iha


tasmät—a causa de la muerte; na—no; käryaù—debe hacerse; santräsaù— horror; na—no; kärpaëyam—avaricia; na—no; sambhramaù—codicia de ganancias materiales; buddhvä—comprendiendo; jéva-gatim—la verdadera naturaleza de la entidad viviente; dhéraù—firme; mukta-saìgaù—libre de apegos; caret— debemos marchar; iha—en este mundo.


TRADUCCIÓN


Por lo tanto, no debemos contemplar la muerte con horror, ni recurrir a la definición de que el cuerpo es el alma, ni dar vía libre a un disfrute exagerado de las necesidades físicas de la vida. Comprendiendo la verdadera naturaleza de la entidad viviente, debemos marchar por el mundo libres de apegos y firmes en nuestro propósito.


SIGNIFICADO

La persona sensata que ha entendido la filosofía de la vida y la muerte, se siente muy afectada al escuchar la horrible condición infernal de la vida dentro y fuera del vientre de la madre. Pero los problemas de la vida, hay que solucionarlos. Un hombre sensato debe entender que el cuerpo material es algo miserable. Sin dejarse afectar más de lo necesario debe tratar de averiguar si existe alguna solución. Para entender la puesta en práctica de esas soluciones, debe relacionarse con personas liberadas. Tenemos que entender quién está verdaderamente liberado. La Bhagavad-gétä describe a la persona liberada: «Cuando alguien se ocupa sin interrupción en el servicio devocional al Seïor, habiendo superado las rígidas leyes de la naturaleza material, se considera que está situado en el Brahman».

La Suprema Personalidad de Dios está más allá de la creación material. Incluso impersonalistas como Çaìkäräcarya admiten que Näräyaëa es trascendental a la creación material. Siendo así, cuando alguien se ocupa en verdadero servicio a cualquiera de las diversas formas del Seïor —Näräyaëa, Rädhä-Kåñëa, o Sétä- Räma—, se considera que está en el plano de la liberación. El Bhägavatam también define la liberación con el significado de «estar situado en la propia posición constitucional». Como la entidad viviente es el eterno servidor del Seïor Supremo, aquel que se ocupa seria y sinceramente en el amoroso servicio trascendental del Seïor, está situado en la posición liberada. Debemos tratar de relacionarnos con una persona liberada; entonces podremos resolver los problemas de la vida, a saber, el nacimiento y la muerte.

En el desempeïo de servicio devocional con plena conciencia de Kåñëa, no debemos ser avaros. No debemos hacer innecesarias demostraciones de renuncia al mundo. De hecho, no es posible renunciar. La renunciación de quien renuncia a un palacio para irse al bosque no es verdadera, pues el palacio es propiedad de la Suprema Personalidad de Dios y el bosque también es propiedad de la Suprema Personalidad de Dios. Que cambie una propiedad por otra, no significa que renuncie, ni el palacio ni el bosque fueron nunca de su propiedad. La verdadera renunciación implica renunciar a la falsa idea de que podemos ser el seïor de la naturaleza material. Verdadera renunciación es la de quien renuncia a esa errónea actitud y a la posición engreída de considerarse Dios. De lo contrario, la renunciación es algo vacío. Rüpa Gosvämé nos advierte de que renunciar a algo que se podría aplicar al servicio del Seïor y no utilizarlo con esa finalidad es lo que se llama phalgu-vairägya, renunciación falsa o insuficiente. Todo pertenece a la Suprema Personalidad de Dios; por eso, todo se puede ocupar en el servicio al Seïor; no debemos utilizar nada para nuestra propia complacencia de los sentidos. Ésa es la verdadera renuncia. Tampoco debemos aumentar sin necesidad las necesidades del cuerpo. Debemos estar satisfechos con lo que Kåñëa nos ofrezca y nos dé sin mucho esfuerzo por nuestra parte. Debemos emplear nuestro tiempo en realizar servicio devocional con conciencia de Kåñëa. Ésa es la solución al problema de la vida y la muerte.

S.B. 3.31.47


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