Le bulletin de "LADK ou les Ami(e)s de Krishna" Dédié à Sa Divine Grâce A.C. Bhaktivedanta Swami Srila Prabhupada |
- Au sujet de la théorie scientifique de la création, à cette page: - Lorsqu'on étudie la culture védique à travers les Ecritures telle la Bhagavad-gita, on comprend que cette désignation de "vaches sacrées" n'est pas réellement fondée. Lire à cette page: - Voici à cette page un article en pdf, dont les abonné(e)s à la Nouvelle du jour ont bien apprécié. - Devant la bonne réponse de ce projet, j'ai décidé de le remettre. Voir les détails à cette adresse: - Nous commençons à préparer le prochain festival du Ratha-Yatra pour l'été qui vient. Le premier festival fut bien modeste, (voir à l'adresse) mais en prenant de l'expérience à chaque année, il deviendra plus élaboré. |
La concupiscence.
Cet amour que nous possédions envers Krishna dans le monde spirituel s'est changé en concupiscence une fois arrivé dans ce monde de matière. Srila Prabhupada donne l'exemple de la pluie qui est pur avant d'arriver au sol, mais dès qu'elle touche la terre elle devient boueuse.
Dans la Bhagavad-gita au chapitre 3 versets 36 à 43 la concupiscence y est expliquée. Voici ces versets en vidéo.
Au verset 36 Arjuna demande cette question à Krishna.
Arjuna dit:Au contact de la matière, l'âme s'adonne sans hésitation à toutes sortes d'activités pécheresses, souvent contre sa volonté. L'être se voit contraint de commettre des fautes sans l'avoir désiré. Krishna lui répond par ces mots:
0 descendant de Visnu, qu'est-ce qui, même contre son gré, pousse l'homme au péché, comme s'il y était contraint?
Le Seigneur Bienheureux dit:Quand l'âme entre en contact avec la création matérielle, son amour pour Krsna se transforme, sous l'influence de la passion, en concupiscence. Inassouvie, cette concupiscence se transforme en colère, et la colère en illusion, par quoi nous demeurons prisonniers de l'existence matérielle. La concupiscence est donc le plus grand ennemi de l'être; c'est elle qui garde l'âme pure prisonnière de la matière. Les êtres en ce monde, ont une certaine indépendance, mais parce qu'ils l'ont mal utilisée, parce qu'ils ont transformé leur attitude dévotieuse en désir de jouissance matérielle, ils sont tombés sous l'empire de la concupiscence. Le monde matériel a été créé par le Seigneur pour permettre aux âmes conditionnées de satisfaire leurs désirs lubriques, et après une suite interminable d'efforts vains et frustrants, l'homme commence à s'interroger sur sa nature véritable.
C'est la concupiscence seule, ô Arjuna. Née au contact de la passion, puis changée en colère, elle constitue l'ennemi dévastateur du monde et source de péché.
Nous sommes dans un monde où tous sont sous l'influence de la concupiscence. Tous sont attirés vers la gratification des sens. Vous n'avez qu'à regarder près de vous. Toute la publicité est faite dans le but de jouir de nos sens. Ces derniers nous gardent en ce monde matériel dans un tourbillon de morts et renaissances. Les sens qui vie après vie nous dirigent vers la mort. Tant que nous n'aurons pas contrôlé cette concupiscence nous devrons mourir et renaître sans cesse. Le poisson dès qu'il voit un ver de terre au bout de l'hameçon veut immédiatement le porter sur sa langue et se fait attraper par le pêcheur, il va ainsi vers la mort. Pour attraper un éléphant, une femelle est entraîné pour attirer le mâle qui voulant du sexe tombera dans un trou. Pour attraper un cerf, le chasseur n'aura qu'à jouer de la flûte. Lorsqu'il entendra le son de la flûte il arrêtera sur place et le chasseur n'aura qu'à le tuer. Certains insectes sont attirés par le feu. Dès qu'ils en voient un, ils se dirigent vers celui-ci, et vont ainsi vers la mort au contact de ce feu. Que ce soit pour le sexe, la langue, les oreilles, les yeux, nos sens nous attirent vers la mort. Tant que nous voudrons jouir de ceux-ci, nous devons rester en ce monde et connaître la mort, vie après vie.
Il est dit dans la Manu-smrti que la concupiscence ne peut jamais être assouvie par la recherche de nouveaux plaisirs matériels, tout comme il est impossible d'éteindre un incendie en l'arrosant constamment d'essence. Le centre de toutes les activités matérielles est la vie sexuelle; c'est pourquoi le monde matériel est appelé maithunya-agara, "les chaînes de la vie sexuelle". Les criminels, dans la société, sont jetés en prison et gardés derrière les barreaux; de même, ceux qui enfreignent les lois du Seigneur subissent les chaînes de la vie sexuelle. Le progrès des civilisations matérialistes est fondé sur le plaisir des sens; il implique, pour l'être, un prolongement de l'existence matérielle. La concupiscence symbolise donc l'ignorance qui garde l'être prisonnier du monde matériel. En procurant des plaisirs à ses sens, on peut éprouver une certaine forme de satisfaction, mais ce faux sentiment de bonheur est en fin de compte l'ennemi ultime de celui qui en fait l'expérience.
Le Seigneur conseille à Arjuna de commencer par maîtriser ses sens, afin de pouvoir vaincre le plus grand ennemi, le plus grand pécheur, la concupiscence, qui anéantit le désir de réalisation spirituelle et détruit la connaissance du vrai moi. La Bhagavad-gita nous livre cette connaissance du moi spirituel. Les êtres vivants sont des parties intégrantes du Seigneur, et leur unique fonction est donc de Le servir. Cet état de conscience est précisément la conscience de Krsna, qu'il faut développer dès que possible, pour en atteindre la plénitude et la mettre en action.
Ce chapitre de la Bhagavad-gita nous oriente de façon concluante vers la conscience de Krsna, en nous apprenant que nous sommes les serviteurs éternels de la Personne Suprême; il ne nous oriente pas vers quelque vide impersonnel. Au cours de l'existence matérielle, l'on est certes porté à la concupiscence et au désir de maîtriser les richesses de la nature, et ces désirs de domination et de jouissance matérielle sont les plus grands ennemis de l'âme conditionnée. Mais forts de la conscience de Krsna, il est possible de maîtriser nos sens, notre mental et notre intelligence matériels. Il ne faut, pas abandonner son devoir et cesser brusquement d'agir, mais atteindre, en engageant fermement l'intelligence à la recherche de notre nature véritable, en développant progressivement la conscience de Krsna, un lieu spirituel où l'on ne sera plus influencé par les sens et le mental matériels. Tel est l'enseignement de ce chapitre.
La façon recommandée en cet ère pour se libérer de cette concupiscence est le chant du maha-mantra: Hare Krishna Hare Krishna Krishna Krishna Hare Hare Hare Rama Hare Rama Rama Rama Hare Hare
Montage et compilation:
Aprakrita dasa
Recette de laddhou.
Recette de laddhou
2:34
Happy New Year in Krishna's Consciousness
de dasa47
32:47
We Have Free Will.wmv
de dasa47
9:04
Le pain quotidien..wmv
de dasa47
4:18
The gigantic brain
de dasa47
Se doivent de l'adopter.
Lors de la saison des pluies, quand tombe la nuit, on voit, ici et là, en grand nombre dans le haut des arbres, des vers luisants briller comme des petits fanaux. Dans le ciel, cependant, aucun astre ne paraît, ni les étoiles ni la lune. De même, dans l'âge de Kali, les athées et les mécréants se font font visibles, sur le devant de la scène; et les hommes qui suivent véritablement les principes védiques afin de connaître la libération spirituelle sont maintenus dans l'obscurité. Notre âge, donc, le Kali-yuga, est comparé à la saison nuageuse des êtres vivants. Le savoir véritable y est voilé par l'illusoire progrès matériel. Ainsi, les adeptes de la spéculation, les athées et les fabricants de faux principes religieux, comme les vers luisants dans le soir de la saison des pluies, se mettent en vue; mais ceux qui suivent strictement les principes védiques, ou les enseignements scripturaires, sont cachés par les nuages du Kali-yuga. Le devoir de chacun, c'est de s'éclairier aux vraies sources de lumière : le soleil, la lune, les étoiles, et non les vers luisants. Qu'éclairent-ils, d'ailleurs, dans le noir de la nuit ? Parfois, même à la saison des pluies, le ciel se dégage et le soleil, la lune et les étoiles apparaissent alors à nos yeux; de même, dans le Kali-yuga se présentent parfois des éclaircies. Parmi elles, la plus grande est certes le Mouvement védique de Sri Chaitanya, axé sur la diffusion du mantra Hare Krishna. Ceux qui recherchent avec sérieux la vraie vie doivent, au lieu de rester tournés vers les faibles lueurs qu'irradient les spéculateurs intellectuels et les athées, tirer plein bénéfice de ce Mouvement. (KRSNA, pp. 173-174)
Un récit historique très ancien.
itihasam puratanam
dutanam visnu-yamayoh
samvadas tam nibodha me
Les Puranas, les récits anciens, sont parfois négligés par des hommes dépourvus d'intelligence qui les considèrent comme de simples descriptions mythologiques. En fait, les récits des Puranas, qui forment l'histoire ancienne de l'univers, sont tout à fait vrais, même s'ils ne sont pas consignés dans un ordre chronologique. Les Puranas rapportent les principaux événements survenus au cours de plusieurs millions d'années, et non seulement sur cette planète, mais également sur d'autres planètes de l'univers. C'est pourquoi tous les savants védiques, les érudits qui ont pris conscience de leur identité spirituelle, font allusion aux événements relatés dans les Puranas. Srila Rupa Gosvami estime, pour sa part, que les Puranas sont aussi importants que les Vedas eux-mêmes, d'où cette citation du Brahma-ymala trouvée dans son Bhakti-rasamrta-sindhu (1.2.101):
pancaratra-vidhim vina
aikantiki harer bhaktir
utpatayaiva kalpate
dasi-patir ajamilah
namna nasta-sadacaro
dasyah samsarga-dusitah
L'union illicite avec une femme est mauvaise car elle fait perdre toutes les qualités brahmaniques. En Inde, il existe encore une classe de serviteurs appelés sudras, dont les femmes, elles-mêmes servantes, sont appelées sudranis. Or, il arrive parfois que des hommes pleins de concupiscence aient des liaisons avec ces servantes et balayeuses, car ils n'ont pas la possibilité de s'en prendre aux femmes des couches supérieures de la société, les conventions sociales interdisant strictement un pareil comportement. C'est ainsi qu'un jeune brahmana confirmé du nom d'Ajamila perdit toutes ses qualités brahmaniques pour s'être lié à une prostituée; néanmoins, il fut sauvé en fin de compte, ayant entamé la pratique du bhakti-yoga. Voilà pourquoi, dans le verset précédent, Sukadeva Gosvami parlait d'une personne ne s'étant abandonnée qu'une seule fois aux pieds pareils-au-lotus du Seigneur (manah-krsna-padaravindayoh), ou ayant juste commencé à pratiquer le bhakti-yoga. C'est en écoutant et en chantant les Noms de Visnu (sravanam kirtanam visnoh) que l'on s'engage dans cette voie. Ainsi, le chant du maha-mantra
hare rama, hare rama, rama rama, hare hare
harer namaiva kevalam
kalau nasty eva nasty eva
nasty eva gatir anyatha
À continuer la semaine prochaine.
Tiré du Srimad-Bhagavatam. (Chant 6.1)
Conditions de vie.
L'envie.
L’envie est désignée comme vice par la tradition chrétienne et fait partie des Sept péchés capitaux. Le dictionnaire donne cette définition de l'envie: "Sentiment de convoitise à l'égard de ce que possède autrui, de ce dont il jouit."
Arrêtons-nous, dans ce verset, sur le mot sanskrit anasuyave, "au non envieux". En général, les commentateurs de la Bhagavad-gita, même les plus "érudits", éprouvent de la jalousie envers Krsna, Dieu, la Personne Suprême, et commentent le texte de manière tout à fait erronée. Parce qu'ils sont envieux de Krsna, leurs observations se trouvent dépourvues de toute valeur. Seuls sont autorisés les commentaires donnés par les dévots du Seigneur. Car nul, s'il est envieux, ne peut expliquer la Bhagavad-gita ou transmettre parfaitement la connaissance de Krsna; et quiconque, d'autre part, critique Krsna sans même Le connaître ne peut être qu'un insensé. Il faut donc soigneusement éviter de lire de tels commentaires.
Gita 9.1 teneur et portée.
Pour percevoir l'Ame Suprême au coeur de l'âme individuelle, il faut mettre un terme à toute activité des sens, telle que voir, entendre, goûter, agir... C'est alors qu'on réalise l'omniprésence de l'Ame Suprême. En l'ayant réalisée, on n'éprouve plus d'envie, on ne fait plus de distinction entre les êtres; en eux, on contemple non plus les enveloppes extérieures, mais l'âme seule.
Gita 12.4 teneur et portée.
En général, les commentateurs de la Bhagavad-gita, même les plus "érudits", éprouvent de la jalousie envers Krsna, Dieu, la Personne Suprême, et commentent le texte de manière tout à fait erronée. Parce qu'ils sont envieux de Krsna, leurs observations se trouvent dépourvues de toute valeur. Seuls sont autorisés les commentaires donnés par les dévots du Seigneur. Car nul, s'il est envieux, ne peut expliquer la Bhagavad-gita ou transmettre parfaitement la connaissance de Krsna; et quiconque, d'autre part, critique Krsna sans même Le connaître ne peut être qu'un insensé. Il faut donc soigneusement éviter de lire de tels commentaires.
Gita 12.4 teneur et portée.
TRADUCTION Celui, envieux de rien, qui se comporte avec tous en ami bienveillant, qui de rien ne se croit le possesseur, qui du faux ego est affranchi et dans la joie comme dans la peine reste le même, qui, plein de pardon, toujours connaît le contentement, qui avec détermination est engagé dans le service de dévotion, et dont le mental et l'intelligence sont en accord avec Moi, celui-là M'est très cher.
TENEUR ET PORTEE
Revenant sur le service de dévotion pur, le Seigneur décrit dans ces deux versets les qualités spirituelles du pur bhakta. Le pur bhakta n'est jamais troublé, quelles que soient les circonstances. Il n'est envieux de personne. Il ne se fait pas l'ennemi de son ennemi. Il pense que l'inimitié à son égard vient de ses propres méfaits dans le passé; aussi préfère-t-il souffrir plutôt que protester. Le Srimad-Bhagavatam enseigne d'ailleurs: dans la détresse ou la difficulté, le bhakta se sent toujours béni par la miséricorde du Seigneur. "Mes péchés sont tels, pense-t-il, que j'aurais dû souffrir mille fois plus. Si je ne reçois pas tout le châtiment qui m'est dû, c'est par la miséricorde du Seigneur Suprême. Par Sa grâce, je n'en subis qu'une portion infime." Aussi est-il toujours calme, serein et patient, même dans les pires circonstances. Le bhakta n'a que bonté à l'égard de tous, et même de son ennemi. Le terme nirmama indique d'autre part que le bhakta n'accorde pas grande importance à l'état de son corps, qu'il soit paisible ou agité, car il se sait parfaitement distinct du corps de matière. Il ne s'identifie pas au corps, et se trouve donc affranchi de tout faux ego, égal dans la joie comme dans la peine. Il est tolérant, et se satisfait de ce qui lui vient par la grâce de Dieu. Comme il n'investit pas de grands efforts en vue d'acquérir des biens, il est toujours joyeux, paisible. Il est le plus parfait des spiritualistes, car il suit rigidement les instructions de son maître spirituel; et parce qu'il domine ses sens, il est plein de détermination. Aucun argument trompeur ne l'ébranle, car nul ne peut affaiblir sa ferme volonté de servir avec dévotion le Seigneur. Sachant en toute conscience que Krsna est le Seigneur éternel, il n'est troublé par personne. Et toutes ces qualités lui permettent à leur tour de s'en remettre entièrement au Seigneur. Une telle élévation dans le service dévotionnel est sans aucun doute très rare, mais tout spiritualiste peut l'atteindre, à condition de suivre les principes régulateurs du bhakti-yoga. En outre, le Seigneur déclare qu'un tel bhakta Lui est très cher, car Il est toujours satisfait de ses actes, accomplis en pleine conscience de Krsna.
Gita 12.13-14
Ayant cherché son refuge dans le faux ego, dans la puissance, l'orgueil, la concupiscence et la colère, le démoniaque blasphème la vraie religion et M'envie, Moi le Seigneur Suprême, qui réside en son corps même, comme en celui des autres. TENEUR ET PORTEE
L'homme démoniaque, parce que toujours hostile à la suprématie de Dieu, répugne à croire en les Ecritures. Il est envieux des Ecritures et de l'existence de Dieu, la Personne Suprême. Tels sont les fruits de son pseudo prestige, de sa richesse et de sa puissance. Il ignore que sa vie présente en prépare une autre. Par suite, il éprouve de l'envie à l'égard de lui-même, comme à l'égard d'autrui. Sur son propre corps et sur le corps d'autrui, il se livre à des actes de violence. Dépourvu de savoir, il fait fi du contrôle souverain de la Personne Suprême. Jaloux des Ecritures et de Dieu, la Personne Suprême, il produit de fausses thèses pour nier toute existence divine; il "réfute" l'autorité des Ecritures. Dans chacun de ses actes, il se croit indépendant et tout-puissant. Il s'imagine que puisque nul ne l'égale en force, en pouvoir ou richesse, il peut agir comme bon lui semble, sans que nul ne puisse l'en empêcher. Qu'il ait alors un ennemi, susceptible de le freiner dans sa quête du plaisir des sens, et il élaborera toutes sortes de projets pour le rabaisser en manifestant sa propre puissance.
Gita 16.18
TRADUCTION Les envieux et malfaisants, les derniers des hommes, Je les plonge dans l'océan de l'existence matérielle sous les diverses formes de la vie démoniaque.
TENEUR ET PORTEE
Ce verset indique clairement que la fonction de placer telle âme distincte dans tel corps de matière est le privilège de la volonté suprême. L'homme démoniaque peut ne pas consentir à reconnaître la suprématie du Seigneur Suprême et agir selon ses caprices; mais les circonstances de sa prochaine vie, c'est le Seigneur qui en décidera, pas lui.
Le Srimad-Bhagavatam, au troisième Chant, enseigne que l'âme incarnée est mise, après la mort du corps, dans la matrice d'une mère, où, sous la direction d'une puissance supérieure, elle revêt un nouveau corps, bien déterminé. Ainsi voyons-nous évoluer, au coeur de l'existence matérielle, d'innombrables formes de vie -bêtes, insectes, hommes... -, qui toutes sont pensées par cette puissance supérieure. Elle ne sont évidemment pas dues au hasard. Quant aux êtres démoniaques, il apparaît clairement ici que sans cesse ils sont contraints de renaître dans le sein d'asuras; ils conserveront ainsi leur nature envieuse, demeureront les derniers des hommes. Toujours pleins de concupiscence, toujours haineux et violents, toujours malsains, ils évoquent les bêtes de la jungle.
Gita 16.19
TRADUCTION Ce savoir secret ne saurait être dévoilé aux hommes ni austères, ni dévoués, ni engagés dans le service de dévotion, ou qui M'envient.
TENEUR ET PORTEE
Les hommes qui n'ont pas mis en oeuvre les austérités que comporte la voie de la religion, qui n'ont jamais tenté de s'engager dans le service de dévotion, dans la conscience de Krsna, qui n'ont jamais servi un pur bhakta, et plus spécialement les hommes qui prennent Krsna pour un personnage historique ou jalousent Sa grandeur, ne doivent pas être entretenus de cette part, la plus secrète, du savoir. Cependant, on voit parfois même des personnes démoniaques, qui envient Krsna et ne Lui rendent un culte qu'à leur façon, faire profession de commenter la Bhagavad-gita de manière inauthentique, à des fins lucratives; quiconque désire vraiment connaître Krsna, doit se garder de tels commentaires. En fait, la Bhagavad-gita, ni Krsna, ne peuvent être compris de ceux qui sont enclins aux plaisirs matériels, ou même de ceux qui ne le sont pas, qui suivent strictement les règles auto-disciplinaires données par les Ecritures védiques, mais ne sont pas bhaktas. Et celui qui revêt l'apparence du bhakta, sans toutefois s'engager de façon authentique en des actes conscients de Krsna, lui non plus ne peut saisir Krsna. Nombre d'hommes envient Krsna parce qu'Il a montré, dans la Bhagavad-gita, qu'il est l'Etre Suprême, et que nul ne Lui est supérieur ni même égal. On ne doit pas dévoiler à ces hommes le savoir que contient la Bhagavad-gita, car ils ne peuvent le saisir. Nul homme privé de foi ne comprendra la Bhagavad-gita ou Krsna. Sans recevoir la connaissance de Krsna des lèvres d'une autorité en la matière, des lèvres de Son pur dévot, il ne faut pas essayer de commenter la Bhagavad-gita.
Gita 18.67
Compilation par Aprakrita dasa.
Recette de laddhou.
Bonne écoute!
Ca devient solide
Ca devient solide
La coutume voulait.
Depuis des temps immémoriaux, la coutume voulait qu'une personne née dans une famille de brahmanes adore le salagrama-sila en toutes circonstances. Certains membres de notre Mouvement pour la Conscience de Krishna se montrent très désireux d'introduire le culte du salagrama-sila, mais nous nous sommes intentionnellement abstenu de le faire, car la plupart des membres de ce Mouvement ne viennent pas originellement de familles de brahmanes. Plus tard, lorsque nous verrons qu'ils suivent rigoureusement les normes de conduite brahmanique, ce culte du salagrama-sila pourra être introduit.
Dans cet âge, l'adoration du salagrama-sila n'a pas autant d'importance que le chant du Saint Nom du Seigneur. Telle est l'injonction des sastras.
kalau nasty eva nasty eva nasty eva gatir anyatha
Selon Srila Jiva Goswami, en chantant le Saint Nom sans commettre d'offenses, on devient vraiment parfait. Néanmoins, afin de purifier le mental, il est également nécessaire d'adorer la murti dans le temple. En conséquence, quand on a atteint un niveau élevé de conscience spirituelle, ou lorsqu'on est parfaitement situé au niveau spirituel, on peut entreprendre l'adoration du salagrama-sila. (C.C. Adi 13.86)
Sont tout à fait vrais.
itihasam puratanam
dutanam visnu-yamayoh
samvadas tam nibodha me
Les Puranas, les récits anciens, sont parfois négligés par des hommes dépourvus d'intelligence qui les considèrent comme de simples descriptions mythologiques. En fait, les récits des Puranas, qui forment l'histoire ancienne de l'univers, sont tout à fait vrais, même s'ils ne sont pas consignés dans un ordre chronologique. Les Puranas rapportent les principaux événements survenus au cours de plusieurs millions d'années, et non seulement sur cette planète, mais également sur d'autres planètes de l'univers. C'est pourquoi tous les savants védiques, les érudits qui ont pris conscience de leur identité spirituelle, font allusion aux événements relatés dans les Puranas. Srila Rupa Gosvami estime, pour sa part, que les Puranas sont aussi importants que les Vedas eux-mêmes, d'où cette citation du Brahma-ymala trouvée dans son Bhakti-rasamrta-sindhu (1.2.101):
pancaratra-vidhim vina
aikantiki harer bhaktir
utpatayaiva kalpate
garhitam vrttim asthitah
bibhrat kutumbam asucir
yatayam asa dehinah
Ce verset indique à quel point on s'avilit dès qu'on se livre à des rapports sexuels illicites avec une prostituée. Ce genre d'activité n'est pas possible avec une femme chaste ou de noble naissance, mais seulement avec des sudras débauchées. Plus la société permet la prostitution et les activités sexuelles illicites, plus les tricheurs, les voleurs, les pillards, les ivrognes et les joueurs se sentent encouragés dans leurs agissements. C'est pourquoi nous recommandons en premier lieu à tous les disciples faisant partie de notre Mouvement pour la Conscience de Krsna d'éviter les activités sexuelles illicites; manquer à cette règle marque en effet le commencement d'une existence déplorable et conduit à la consommation de chair animale, puis aux jeux de hasard et finalement à l'intoxication sous toutes ses formes. Assurément la continence est loin d'être une pratique aisée, mais elle devient tout à fait possible pour celui qui s'abandonne complètement à Krsna; en effet, pour une personne consciente de Krsna, toutes ces habitudes abominables perdent peu à peu leur attrait. En revanche, si l'on permet aux activités sexuelles illicites de devenir de plus en plus répandues, toute la société courra à sa perte, car elle verra s'accroître le nombre des voleurs, des tricheurs et des malfaiteurs de toutes sortes.
lalayanasya tat-sutan
kalo tyagan mahan rajann
astasityayusah samah
dasa tesam tu yo vamah
balo narayano namna
pitros ca dayito bhrsam
Le mot pravayasah fait ressortir la nature pécheresse d'Ajamila, car bien qu'il fût âgé de quatre-vingt-huit ans, il avait un enfant en très bas âge. Selon les prescriptions de la culture védique, dès qu'on atteint l'âge de cinquante ans, on doit quitter son foyer, et non pas continuer à y vivre en engendrant des enfants. La vie sexuelle n'est en effet permise que pendant une période de vingt-cinq années —de vingt-cinq à quarante-cinq ans, ou tout au plus à cinquante ans. Ensuite, il faut y renoncer et quitter le foyer en tant que vanaprastha, puis adopter comme il se doit le sannyasa. Ajamila, cependant, du fait de sa liaison avec une prostituée, perdit toute sa culture brahmanique et devint un grand pécheur, même au sein de sa prétendue vie de famille.
À continuer la semaine prochaine.
Tiré du Srimad-Bhagavatam. (Chant 6.1)
Devenir un cygne.
Le blocus de Cuba.
Dernièrement, ma voisine me faisait quelques commentaires à propos de la guerre en Libye. Elle me disait, comment est-ce possible qu'après toutes ces guerres que nous avons eues qu'il est encore possible de refaire la même erreur, nous qui au 21 ième siècle avons été sur la lune. Je n'ai pas osé lui dire que ce voyage sur la lune était une grande supercherie. (voir ici) Sans trop élaborer avec elle, je lui ai simplement dit que les guerres font parties de ce monde et qu'il n'est pas possible de les arrêter.
Je lisais il y a quelque temps une lecture (12 août à Paris, Bhagavad-gita 13.4) de Srila Prabhupada où il disait que cette tendance de vouloir se battre vient de Krishna. En effet, Krishna aime se batailler parfois. Il ne le fait pas dans le monde spirituel, car il n'y a pas de démons à cet endroit, mais il vient en ce monde matériel pour le faire. Il envoit dans notre monde un de ses serviteurs qui joue le rôle d'un démon, afin de se battre avec Lui. Il a envoyé à un moment Jaya et Vijay qui sont devenus Hiranyakasipu et Hiranyaksa.
Srila Prabhupada parlait dans une autre lecture que je n'arrive pas à retrouver, que les Américains et les Russes se sont affrontés en 1962, et qui a été appelé "Le Blocus de Cuba". Il parlait de cette tendance à se battre que nous possédons et qui vient de Krishna. Parce que nous sommes de la même nature spirituelle que Krishna nous possédons aussi ce pendant de se bagarrer.
Revenons à cet affrontement entre Russes et Américains. On parlait à ce moment, d'une possible troisième guerre mondiale. Ceux et celles qui sont dans la même catégorie d'âge que moi, se souviennent certainement de ces 13 jours d'une grande anxiété.
Laissez moi donc, vous rappeler les événements. Le 24 octobre 1962, le président américain John F. Kennedy prononce du salon ovale de la Maison Blanche une allocution télévisée dans laquelle il annonce le blocus de Cuba suite à la découverte de rampes de lancement de missiles soviétiques sur l'île.
Depuis le renversement révolutionnaire de la dictature militaire de Fulgencio Batista en janvier 1959, l'île de Cuba est dirigée par Fidel Castro. Tout en mettant en place une réforme agraire, Castro nationalise les propriétés des entreprises américaines sur l'île et s'attire aussitôt les foudres de Washington. Le dirigeant cubain pro-communiste se rapproche alors de plus en plus de l'URSS qui se félicite de trouver un nouvel allié dans l'hémisphère occidental et dans le périmètre de sécurité des États-Unis. Les régimes cubain et soviétique signent successivement des accords de coopération commerciale puis militaire. Les États-Unis essaient alors de renverser le nouveau régime en organisant, en avril 1961, un débarquement d'exilés anticastristes dans la baie des Cochons. L'opération échoue et ne fait finalement que contribuer au renforcement de Castro. Il attire à Cuba, seul pays communiste du continent américain, de nombreux révolutionnaires d'Amérique latine et menace le prestige des États-Unis dans la région. Khrouchtchev décide en effet de livrer secrètement aux Cubains des fusées offensives à moyenne portée capables de menacer directement le sol des États-Unis.
Le 14 octobre 1962, après avoir repéré des cargos soviétiques chargés de missiles en route vers l'île, des avions espions américains prennent également des clichés de rampes de lancement de fusées soviétiques à moyenne portée. Le président américain, John F. Kennedy, décide alors d'imposer un blocus maritime en fermant les voies d'accès vers Cuba. La moindre tentative des bateaux soviétiques de forcer la quarantaine américaine peut à tout moment mettre le feu aux poudres et provoquer un conflit ouvert entre les États-Unis et l'Union soviétique. L'Europe - et l'Allemagne en particulier – constitueraient alors immanquablement un terrain d'affrontement.
Mais au dernier moment, après de nombreux contacts entre Moscou et Washington, notamment par l'intermédiaire des Nations unies, un compromis émerge : les bateaux soviétiques acceptent de rebrousser chemin tandis que les Américains s'engagent à ne pas envahir Cuba. Le 28 octobre, la guerre nucléaire est évitée de justesse et les deux géants en reviennent aux négociations à propos du désarmement.
Parce que tous en ce monde ne reconnaissent pas que tout appartient à Krishna, il y aura par le fait même des conflits entre nations. Parce que chacune d'elles pensent que leur pays leur appartient les guerres existeront toujours. C'est une grande erreur que de penser que nous sommes les propriétaires de ce monde. Napoléon disait que la France lui appartenait, mais nous savons qu'il est décédé et que le France existe toujours. Nous quitterons tous ce monde, un jour ou l'autre et nous n'apporterons rien avec nous. Alors il faut comprendre que tout nous a été prêté et que nous sommes les possesseurs de rien. C'est une vérité pas plaisante à accepter, mais c'est c'est un fait réel. Krishna est le vrai propriétaire de tout. Il le dit dans la Bhagavad-gita au chapitre 10 verset 8. "De tous les mondes, spirituels et matériels, Je suis la Source, de Moi tout émane. Les sages qui connaissent parfaitement cette vérité de tout leur coeur Me servent et M'adorent."
La conclusion est donc, si vous ne voulez pas être impliqué dans un petit ou grand conflit, il faut sortir de ce monde. La façon recommandée est de chanter:
Hare Rama Hare Rama Rama Rama Hare Hare
Il n'y a pas d'autres moyens, pas d'autres moyens, pas d'autres moyens.
Écrit et recherches par Aprakrita dasa.
Voici quelques vidéos concernant ce blocus de 1962.
Tempête en Octobre
Les dessous d'une présidence (2/3)
Parmi les armes.
Bonne écoute!
Parmi les armes
Fait preuve de bienveillance.
balakam sneha-yantritah
bhojayan payayan mudho
na vedagatam antakam
Dieu, la Personne Suprême, fait preuve de bienveillance à l'égard des âmes conditionnées. Ainsi, bien que cet homme eût complètement oublié Narayana, il appelait son fils en disant: "Narayana viens manger, je t'en prie. Narayana, bois ce lait, veux-tu." D'une manière ou d'une autre, il était attaché au Nom de Narayana. C'est ce que l'on entend par ajnata-sukrti; bien qu'il appelât son fils, il chantait en fait inconsciemment le Nom de Narayana, et le Saint Nom du Seigneur possède une puissance spirituelle si grande que ses appels étaient comptés et enregistrés.
mrtyu-kala upasthite
matim cakara tanaye
bale narayanahvaye
Dans le deuxième Chant du Srimad-Bhagavatam (2.1.16), Sukadeva Gosvami dit:
svadharma-parinisthaya
janma-labhah parah pumsam
ante narayana-smrtih
Nous pouvons également tenir le raisonnement suivant; Ajamila, qui était le fils d'un brahmana, avait l'habitude de rendre un culte à Narayana au cours de sa jeunesse, car dans toutes les demeures de brahmanas on adore le narayana-sila. Cette pratique a encore cours de nos jours en Inde, où le narayana-seva, c'est-à-dire l'adoration de Narayana, est en honneur chez tous ceux qui observent fidèlement les principes brahmaniques. En conséquence, bien qu'Ajamila fût souillé par le péché et qu'il appelât son fils, en concentrant ses pensées sur le Saint Nom de Narayana il se rappela le Narayana qu'il avait si fidèlement servi au début de sa vie.
Srila Sridhara Svami, quant à lui, exprime, son jugement comme suit:
tad-bhaktir evabhud iti siddhantopayogitvenapi drastavyam
narayanakhye putra eva matim cakara matim asaktam akarod ity arthah
anugrahat kale datta-jnana-laksane upasthite hrdi prakasite tanaye purna-
jnane bale panca-varsa-kalpe pradesa-matre narayanahvaye murti-visese
matim smarana-samartham cittam cakara bhaktyasmarad ity arthah.
À continuer la semaine prochaine.
Tiré du Srimad-Bhagavatam. (Chant 6.1)
Jaya Sri Krishna.
La forme svarupa.
Recouvert par notre corps matériel, un autre corps existe et celui-ci est spirituel. Il porte le nom en sanskrit de svarupa qui veut dire: "Forme" ou condition première de l'âme. Il est donc notre vraie identité et c'est cette forme que nous possédions dans le monde spirituel avant d'arriver dans le monde matériel. Un peu comme le corps de chenille qui cache le corps du papillon. L’âme a-t-elle une forme?
Il est expliqué que le corps est fait de matière inerte, et que seule la présence de l'âme l'anime et provoque son développement. L'âme anime le corps et est pourvue d'une forme et aussi de sens. Pour aider à mieux comprendre, le corps matériel est parfois comparé à un vêtement qui épouse la forme du corps. Parce que le corps a des bras et des jambes, le vêtement a lui aussi des manches et des jambes. De la même façon, parce que l'âme a des sens, le corps matériel possède lui aussi des sens. Lorsque l'âme quitte le corps, le corps matériel perd ses pouvoirs de perception, et sa forme se désagrège. C'est donc l'âme qui a des sens et par conséquent une forme. Le corps composé de terre, eau, feu, perd sa forme et ses sens au moment de la mort. Il finira en cendres, en poussières ou en excréments, pendant que l'âme ira habiter un autre corps avec sa forme et ses sens.
Le corps matériel que nous possédons est différent de l'âme, mais cette forme spirituelle (svarupa) n'est pas différente de l'âme. Il en est ainsi de Krishna et de tous les habitants vivant dans le monde spirituel, mais pas de nous en ce monde. Au cours de cette vie, nous avons pris un corps de bébé, d'enfant, d'adolescent, d'adulte et éventuellement nous prendrons le corps d'un vieillard. Malgré tous ces changements de corps nous restons la même personne à l'intérieur. Lorsque nous avions un corps de bébé, nous pensions vraiment que nous étions un nouveau-né. Nous avons pris le corps d'un adolescent et à ce moment, nous avons oublié notre corps de bébé, pour penser que nous étions un adolescent et il en sera ainsi pour tous les autres corps que nous prendrons en cette vie. Parce que nous avons pris naissance au Canada, nous pensons que nous sommes canadien, mais en fait nous sommes toujours resté une âme spirituelle malgré tous les changements subis par notre corps. Nous faisons continuellement l'erreur de penser que nous sommes ce corps de matière. Il en est ainsi de tous les gens qui habitent ce monde. Tous commettent l'erreur d'oublier leur vraie identité ou vraie forme appelée en sanskrit svarupa.
Nous sommes comme des acteurs sur une scène et parfois nous jouons le rôle d'un canadien, d'un russe, d'un français, etc. Comme tout bon acteur nous croyons fermement que nous sommes canadien, russe, français, etc., mais nous sommes une âme spirituelle habitant ce corps de matière. Quelle grande erreur commettons-nous et ce, vie après vie et pour des millions d'existences en ce monde. Il serait grand temps de revenir à notre vraie identité ou forme véritable et de rétablir notre contact avec Krishna, Dieu la Personne Suprême. Nous avons commis l'erreur de penser que nous étions vie après vie ce corps de matière.
Libre à nous tous de développer ou de reprendre notre vraie identité ou de jouer le rôle d'acteur et d'y croire fermement vie après vie et ce pendant des millions, voir des milliards de vies et d'accepter avec chacune d'elles, de mourir et reprendre naissance à chaque fois. Il faut retourner dans notre vraie demeure. Pour bien comprendre la différence entre l’âme et le corps il faut devenir conscient de l’âme et la manière d'y parvenir est de réciter Hare Krishna Hare Krishna Krishna Krishna Hare Hare Hare Rama Hare Rama Rama Rama Hare Hare. Lorsque vous aurez réalisé votre vraie identité par ce moyen à ce moment votre vie deviendra sublime et vous retournerez au moment de la mort dans votre vraie maison, qu'est le monde spirituel.
Écrit et compilé par Aprakrita dasa.
Bonne écoute!
Le plus puissant
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