Lundi le 27 décembre, 2010. L'illustre descendance du roi Priyavrata. 8
Une fois par semaine, vous recevrez à la Nouvelle du Jour, une partie de "La forêt de plaisirs de l'univers matériel." puisée dans le cinquième chant du Srimad-Bhagavatam. Voici pour débuter le résumé de ce chapitre ainsi que quelques versets qui sont accompagnés de la teneur et portée par le fondateur du mouvement "Hare Krishna", Sa Divine Grâce A.C. Bhaktivedanta Swami Srila Prabhupada.
Ce chapitre décrit les descendants de Bharata Maharaja et ceux de nombreux autres rois. Maharaja Bharata eut pour fils Sumati, qui suivit la voie de la libération indiquée par Rsabhadeva. Certains se méprennent sur ce Sumati et croient qu'il était une manifestation directe de Buddha. Sumati eut pour fils Devatajit, qui engendra lui-même Devadyumna. Devadyumna fut le père de Paramesthi, qui eut pour fils Pratiha, un très grand dévot de Visnu; il eut lui-même trois fils, Pratiharta, Prastota et Udgata. Pratiharta eut deux fils, Aja et Bhuma. Udgitha, fils de Bhuma, engendra Prastava, qui eut pour fils Vibhu. Prthusena, fils de Vibhu, engendra à son tour Nakta. Druti, femme de Nakta, mit au monde Gaya, qui devint un saint roi très célèbre. En réalité, le roi Gaya était une manifestation partielle de Visnu, et du fait de sa grande dévotion pour Celui-ci, il reçut le titre de Mahapurusa. Les fils du roi Gaya furent Citraratha, Sumati et Avarodhana. Le fils de Citraratha devint l'empereur Samrat, qui engendra Marici, lequel eut à son tour pour fils Bindu. Madhu, fils de Bindu, eut pour fils Viravrata, dont les deux fils furent Manthu et Pramanthu. De Manthu naquit Bhauvana, de Bhauvana naquit Tvasta, et de Tvasta naquit Viraja, qui fit la gloire de toute la dynastie. Viraja eut à son tour une fille et cent fils, parmi lesquels Satajit devint très célèbre.
Srila Sukadeva Gosvami poursuivit: Le fils de Maharaja Bharata, Sumati, suivit la voie indiquée Rsabhadeva, mais des individus sans scrupules le prirent pour Buddha lui-même. Ces hérétiques, par ailleurs hommes de mauvaise nature, suivirent à leur manière les principes des Vedas de façon à justifier leur conduite infâme. Ils prirent donc Sumati pour Buddhadeva et propagèrent la théorie que tous devaient suivre sa voie: c'est ainsi qu'ils furent tous fourvoyés par la spéculation intellectuelle.
TENEUR ET PORTEE
Les aryas observent strictement les principes védiques, mais dans l'âge de Kali s'est formé un groupe dénommé arya-samaja, qui ignore tout de la teneur des Vedas selon la voie parampara. Les dirigeants de cette secte renient tous les acaryas authentiques et se font eux-mêmes passer pour les véritables défenseurs des principes védiques. Ces acaryas hérétiques sont aujourd'hui connus sous le nom d'arya-samajas, ou Jaïns. Non seulement ils dérogent aux principes védiques, mais en plus ils n'ont aucun lien avec Buddha. Imitant le comportement de Sumati, ils prétendent descendre de Rsabhadeva. Les vaisnavas évitent soigneusement leur compagnie, car ils ignorent tout des voies védiques. Krsna déclare dans la Bhagavad-gita (XV.15): vedais ca sarvair aham eva vedyah -"Le but réel des Vedas est de Me connaître." Voilà ce qu'enjoignent tous les Textes védiques. Quiconque ignore la grandeur de Sri Krsna ne saurait être reconnu comme un arya. Buddha, quant à lui, un avatara de Krsna, eut recours à un moyen particulier pour propager la philosophie du bhagavata-dharma, car il avait à prêcher presque exclusivement à des athées. Ces derniers ne veulent pas de Dieu, et Buddha, sans les contrarier, leur donna néanmoins un enseignement qui leur serait salutaire. C'est ainsi qu'il prêcha d'une manière trompeuse, prétendant que Dieu n'existe pas alors qu'il était lui-même un avatara divin.
À continuer la semaine prochaine. Tiré du Srimad-Bhagavatam. (Chant 5.15)
Mardi le 28 décembre, 2010. Pour la réussite personnelle.
Dans le Kali-yuga, le chant du Saint Nom est particulièrement recommandé pour la réussite spirituelle :
Les Textes védiques, qui font autorité en la matière, nous révèlent que tout particulièrement à l'époque ù nous vivons, le Kali-yuga, les gens vivent généralement peu longtemps, ils ont des habitudes de vie déplorables et ont tendance à accepter des pratiques dévotionnelles qui ne sont pas authentiques. En outre, ils sont toujours opprimés par les conditions matérielles, et infortunés pour la plupart. Étant donné ces circonstances, il est devenu absolument impossible de recourir à d'autres voies commes celles du yajña, du dana, du tapah et du kriya, c'est-à-dire des sacrifices, de la charité, etc. C'est pourquoi il est recommandé :
harer nama harer nama harer namaiva kevalam kalau nasty eva nasty eva nasty eva gatir anyatha
" Chante le Saint Nom du Seigneur, car en cet âge de querelle et d'hypocrisie, il n'existe pas d'autre moyen, pas d'autre moyen, pas d'autre moyen pour atteindre la libération. " Le simple fait de chanter le Saint Nom permet en effet d'avancer parfaitement dans la vie spirituelle. C'est le meilleur processus pour atteindre le succès dans la vie. Au cours d'autres âges, le chant du Saint Nom conserve tout son pouvoir, mais dans le Kali-yuga, il est encore plus puissant. (S.B. 7.5.23-24)
Le chant du maha-mantra permet de goûter automatiquement les fruits du karma, du jñana et du yoga :
Sukadeva Goswami marque fortement l'importance du maha-mantra : Hare Krishna, Hare Krishna, Krishna Krishna, Hare Hare / Hare Rama, Hare Rama, Rama Rama, Hare Hare - lorsque, dans le Srimad-Bhagavatam (2.1.11), il dit à Maharaja Pariksit : " O roi, celui qui éprouve un attrait spontané pour le chant du maha-mantra Hare Krishna, il faut le savoir parvenu au plus haut niveau de perfection. " Il insiste particulièrement sur le fait que les karmis avides des fruits de leurs actes, les impersonnalistes en quête de salut et cherchant à ne plus faire qu'un avec la Personne Suprême, et les yogis assoiffés de pouvoirs surnaturels, peuvent goûter les fruits de toutes ces perfections par le simple chant du maha-mantra. Sukadeva use à cet effet du mot nirnitam, signifiant une vérité irrévocable. Âme libérée, le sage ne saurait prendre en compte un fait qui ne revête un caractère absolu; c'est pourquoi il affirme avec insistance qu'il s'agit là d'un fait irrévocable : celui qui parvient à chanter avec détermination et constance le mantra Hare Krishna en a définitivement terminé avec l'action intéressée, la spéculation intellectuelle et la pratique du yoga. (ND, p. 124)
Mercredi le 29 décembre, 2010. Les grands sages du renoncement.
BHAGAVADA-GITA 8 VERSET 11
yad aksharam veda-vido vadanti vishanti yad yatayo vita-ragah yad icchanto brahmacaryam caranti tat te padam sangrahena pravaksye
TRADUCTION
Les grands sages du renoncement, versés dans les Vedas, et qui prononcent l'omkara, pénètrent dans le Brahman. Je vais maintenant t'instruire dans cette voie de salut, qui requiert la continence.
TENEUR ET PORTEE
Krsna explique ici que le Brahman, bien qu'il soit Un et sans égal, Se manifeste sous divers aspects. Pour l'impersonnaliste, par exemple, le Brahman S'identifie à la syllabe om, et le Seigneur décrit maintenant le Brahman sans forme, où pénètrent les sages qui ont accompli le renoncement. Tels sont les deux aspects du Brahman que réalisent les étudiants de la science védique: dès les premiers temps de leur éducation, vivant dans le plus complet célibat auprès du maître spirituel, ils apprennent à faire vibrer le son om et se voient instruits de la lumière impersonnelle du Brahman.
La continence est alors primordiale. Sans elle, point de progrès spirituel pour l'étudiant. Par malheur, les structures sociales ont tellement changé qu'il est aujourd'hui impossible à un individu de demeurer chaste d'un bout à l'autre de sa vie d'étudiant, d'observer strictement le brahmacarya. On trouve aujourd'hui, dans les universités, une multitude de disciplines, de spécialités diverses, mais nulle part on n'enseigne les principes du brahmacarya, sans lesquels il est très difficile de progresser dans la vie spirituelle. Pour combler cette lacune, l'avatara Caitanya Mahaprabhu vint enseigner au monde la méthode qui, selon les Ecritures, constitue le seul moyen de réaliser l'Absolu en l'ère de Kali, c'est-à-dire le chant des Saints Noms de Krsna:
hare krsna hare krsna krsna krsna hare hare hare rama hare rama rama rama hare hare
29 décembre, 201 Je vous envois cette vidéo quelques jours à l'avance afin que vous ayez le temps de l'envoyer à vos ami(e)s au jour propice.
sri-suka uvaca na ced ihaivapacitim yathamhasah krtasya kuryan mana-ukta-panibhih dhruvam sa vai pretya narakan upaiti ye kirtita me bhavatas tigma-yatanah
TRADUCTION
Sukadeva Gosvami répondit: O roi, si tous les actes impies que l'on a pu commettre au cours de cette vie, que ce soit en pensées, en paroles ou en actions, ne sont pas rachetés avant la mort, selon les méthodes prescrites par la Manu-samhita et d'autres dharma-sastras, on devra à coup sûr se rendre sur les planètes infernales afin d'y connaître d'atroces souffrances, celles-là mêmes que je t'ai déjà décrites.
TENEUR ET PORTEE
Srila Visvanatha Cakravarti Thakura mentionne que Sukadeva Gosvami n'a pas immédiatement parlé de la puissance du service de dévotion à Maharaja Pariksit, bien que celui-ci fut un pur bhakta. Ainsi que le déclare la Bhagavad-gita (XIV.26):
mam ca yo vyabhicarena bhakti-yogena sevate sa gunan samatityaitan brahma-bhuyaya kalpate
Le service de dévotion possède une puissance telle que celui qui s'abandonne pleinement à Krsna et se consacre tout entier à son service, voit s'interrompre sur-le-champ l'enchaînement des conséquences de sa vie pécheresse. Ailleurs, toujours dans la Bhagavad-gita (XVIII.66), Krsna insiste pour qu'on délaisse toute autre forme d'occupation pour s'abandonner à Lui. Après quoi Il promet: aham tvam sarva papebhyo moksayisyami —"Je t'affranchirai des suites de tes fautes et t'accorderai la libération." Aussi, en réponse aux questions de Pariksit Maharaja, Sukadeva Gosvami, son guru, aurait pu lui expliquer aussitôt le principe de la bhakti; toutefois, afin de mettre son intelligence à l'épreuve, il commença par prescrire l'expiation des fautes par la voie de l'action intéressée, le karma-kanda. Pour ceux qui empruntent cette voie, il existe quatre-vingts Textes autorisés, comme la Manu-samhita, regroupés sous le nom de dharma-sastras. Ces Ecrits recommandent de compenser ses fautes en accomplissant d'autres sortes d'actions intéressées. C'est la voie qui fut d'abord préconisée à Maharaja Pariksit par Sukadeva Gosvami; de fait, il est juste de dire qu'une personne n'ayant pas opté pour le service de dévotion doit se conformer aux injonctions contenues dans ces Textes en se livrant à divers actes de vertu pour racheter ses fautes. C'est là ce qu'on appelle le rachat des péchés.
À continuer la semaine prochaine. Tiré du Srimad-Bhagavatam. (Chant 6.1)
Vendredi le 31 décembre, 2010. La mort est certaine.
Lundi le 3 janvier, 2011. L'illustre descendance du roi Priyavrata.
Une fois par semaine, vous recevrez à la Nouvelle du Jour, une partie de "La forêt de plaisirs de l'univers matériel." puisée dans le cinquième chant du Srimad-Bhagavatam. Voici pour débuter le résumé de ce chapitre ainsi que quelques versets qui sont accompagnés de la teneur et portée par le fondateur du mouvement "Hare Krishna", Sa Divine Grâce A.C. Bhaktivedanta Swami Srila Prabhupada.
VERSET 2
tasmad vrddhasenayam devatajin-nama putro bhavat.
TRADUCTION
La femme de Sumati, Vrddhasena, mit au monde un fils du nom de Devatajit.
Puis, Devatajit et Asuri eurent un fils du nom de Devadyumna. La femme de ce dernier, Dhenumati, lui donna un fils nommé Paramesthi, lequel prit pour épouse Suvarcala et eut un fils du nom de Pratiha.
VERSET 4
ya atma-vidyam akhyaya svayam samsuddho maha-purusam anusasmara.
TRADUCTION
Le roi Pratiha diffusa personnellement les principes de la réalisation spirituelle. De cette manière, non seulement il fut purifié, mais il devint en outre un grand dévot de la Personne Suprême, Sri Visnu, qu'il pouvait percevoir directement.
TENEUR ET PORTEE
Le mot anusasmara revêt ici une importance particulière: la conscience de Dieu n'est pas une chose imaginaire ou inventée. Le bhakta purifié et évolué a conscience de Dieu tel qu'Il est. Ce fut le cas de Maharaja Pratiha: pour avoir ainsi directement réalisé Sri Visnu, il devint prédicateur et diffusa cette science spirituelle. Un véritable prédicateur ne peut être un charlatan: il doit d'abord avoir réalisé Sri Visnu tel qu'Il est. Comme le confirme la Bhagavad-gita (IV.34): upadeksyanti te jnanam jnaninas tattva-darsinah -" Celui qui a vu la vérité peut révéler le savoir." Les mots tattva-darsi désignent une personne qui a parfaitement réalisé Dieu, la Personne Suprême; elle peut devenir un guru et exposer la philosophie vaisnava dans le monde entier. Le modèle du guru et du prédicateur authentique est le roi Pratiha.
Suvarcala, la femme de Pratiha, lui donna trois fils, Pratiharta, Prastota et Udgata, tous experts dans l'accomplissement des rites védiques. Et Pratiharta eut deux fils, Aja et Bhuma, de sa femme, Stuti.
À continuer la semaine prochaine. Tiré du Srimad-Bhagavatam. (Chant 5.15)
Mercredi le 5 janvier, 2010. Les chaînes de la matière.
Le chant du Saint Nom nous délivre plus efficacement des chaînes de la matière que le karma, le jñana et le yoga :
[Sukadeva Goswami dit au roi Pariksit:] " Ajamila était un brahmane qui, du fait de ses mauvaises fréquentations, avait renoncé à toute culture brahmanique et à tout principe religieux. Tombé on ne peut plus bas, il vola, but et commit toutes sortes d'autres actes innommables, allant même jusqu'à entretenir une prostituée. Il était donc destiné à être emmené en enfer par les serviteurs de Yamaraja; mais simplement pour avoir à peine commencé à chanter le Saint Nom Narayana, il fut immédiatement sauvé. En conséquence, quiconque désire être délivré des chaînes de la matière doit adopter la pratique du chant et de la glorification du Nom, de la renommée, de la forme et des divertissements de Dieu, la Personne Suprême, aux pieds de qui se tiennent tous les lieux saints. Aucune autre méthode, qu'il s'agisse d'expiation pieuse, de conjectures intellectuelles ou de méditation inspirée du yoga, n'apporte de bienfait véritable, car même après les avoir appliquées, on se livre de nouveau à l'action intéeressée, étant incapable de rester maître de son mental souillé par les attributs primaires de la nature, à savoir la Passion et l'Ignorance. "
Il s'est avéré que, même après avoir atteint ce qu'ils appellent la perfection, de nombreux karmis, jñanis et yogis se sont à nouveau attachés aux activités matérielles. De nombreux soi-disant swamis et yogis renoncent aux activités matérielles en les dénonçant comme des illusions (jagan mithya), mais au bout d'un certain temps, ils n'en retournent pas moins aux activités de ce monde en ouvrant des hôpitaux et des écoles, ou en accomplissant d'autres œuvres pour le bien du public. Parfois même, ils se mêlent de politique, tout en continuant de se prétendre des sannyasis, ses membres de l'ordre du renoncement. Néanmoins, la conclusion parfaite est la suivante : quiconque désire vraiment sortir de l'Univers matériel doit adopter le service de dévotion, lequel commence par l'écoute et le chant des gloires du Seigneur (sravanam kirtanam visnoh). Le Mouvement pour la Conscience de Krishna en est la preuve vivante. Dans les pays occidentaux, de nombreux jeunes gens habitués à la drogue et à toutes sortes de pratiques peu recommandables auxquelles ils ne pouvaient renoncer, coupèrent court à toutes ces tendances pour se consacrer avec beaucoup de sérieux à la glorification du Seigneur, cela dès qu'ils eurent adhéré au Mouvement pour la Conscience de Krishna. En d'autres termes, il s'agit de la méthode parfaite d'expiation pour tout acte commis sous l'influence de la Passion (rajah) et de l'ignorance (tamas). Selon le Srimad-Bhagavatam (1.2.19) :
En conséquence, avant que ne survienne la mort et tant que le corps possède encore suffisamment de vigueur, il faut rapidement racheter ses péchés de la façon prescrite dans les sastras; sinon, on ne fera que perdre son temps, et les suites de ses fautes s'accumuleront. Tout comme un médecin diagnostique et guérit une maladie en fonction de sa gravité, il faut racheter ses fautes selon leur importance.
TENEUR ET PORTEE
Les dharma-sastras, parmi lesquels la Manu-samhita, déclarent qu'un homme ayant commis un meurtre doit être pendu, et que sa propre vie doit ainsi être sacrifiée en guise d'expiation. Autrefois, ce système était en vigueur partout dans le monde, mais avec l'avènement de l'athéisme, les peuples suppriment la peine capitale. Ce n'est pas là faire preuve de sagesse. Notre verset explique qu'un médecin qui sait diagnostiquer une maladie prescrit un médicament approprié; s'il s'agit d'une maladie grave, le médicament devra être puissant. De même, la faute d'un meurtrier pèse très lourd, et c'est pourquoi, selon la Manu-samhita, celui-ci doit être tué. En mettant à mort un meurtrier, le gouvernement fait preuve de miséricorde à son égard, car si l'assassin n'est pas lui-même tué dans cette vie, il devra l'être au cours de vies futures, et souffrir ainsi bien des fois au lieu d'une seule. Comme les gens ne savent pas qu'il existe une vie future et ne connaissent pas davantage les rouages complexes de la nature, ils inventent leurs propres lois; mais ils devraient dûment consulter les prescriptions déjà établies dans les sastras et agir en accord avec elles. En Inde, de nos jours encore, les membres de la communauté hindoue prennent souvent conseil auprès d'érudits qui savent comment neutraliser telle ou telle faute commise. Le christianisme, également, préconise la confession et la pénitence pour les péchés. Cette expiation est donc nécessaire, et elle doit correspondre à la gravité des péchés commis.
À continuer la semaine prochaine. Tiré du Srimad-Bhagavatam. (Chant 6.1)
Vendredi le 31 décembre, 2010. S'emparer d'un nouveau corps.
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