viernes, 25 de diciembre de 2009

Fête d'un pur dévot de Krishna.

Fotos de

Sri Krishna Janmastami @ ISKCON Baroda, Gujarat, India 2009 -1


















Le bulletin de
"LADK ou les Ami(e)s de Krishna"
Dédié à Sa Divine Grâce A.C. Bhaktivedanta Swami Srila Prabhupada
Fondateur du mouvement Hare Krishna

Nouvelle du Jour.

Vendredi le 25 décembre, 2009.
Fête d'un pur dévot de Krishna.

Srila Prabhupada fait ici l'éloge de Jésus-Christ en soulignant sa tolérance et sa compassion, qui sont les qualités inhérentes à un pur dévot de Krishna. Il dénonce également l'ingratitude des chrétiens de notre siècle.

Selon le Srimad Bhagavatam, un véritable apôtre de la conscience de Dieu doit faire preuve de tolérance et de compassion. Ces vertus, le Seigneur Jésus-Christ les manifesta toutes deux: si grande était sa tolérance que même durant son supplice, il ne condamna personne, et si grande sa compassion qu'il implorait Dieu de pardonner à ceux qui voulaient le tuer. Certes, ils ne pouvaient pas vraiment le mettre à mort, mais eux s'imaginaient le contraire, et commettaient ainsi une grande offense. Et alors même qu'on le crucifiait, Jésus-Christ priait encore: "Père pardonne-leur car ils ne savent ce qu'ils font."

Celui qui accepte la mission de raviver la conscience de Dieu en ce monde se fait l'ami de tous les êtres vivants. Ce qu'illustra le Christ de manière exemplaire à travers le suivant commandement: "Tu ne tueras point". Pourtant les chrétiens interprètent volontiers cette injonction. Estimant que les animaux n'ont pas d'âme, ils se croient libres de massacrer des milliers d'êtres innocents dans les abattoirs. Ainsi, malgré la pléthore de prétendus chrétiens, il serait très difficile d'en trouver un seul qui applique à la lettre les injonctions du Christ.

Un pur dévot du Seigneur souffre du malheur d'autrui. Voilà pourquoi Jésus-Christ accepta d'être crucifié -il voulait soulager les hommes de leurs souffrances. Mais ses disciples font preuve d'une telle perfidie qu'ils se sont accordés pour dire, "laissons le Christ souffrir pour nous et continuons de pécher", et ils pensent en eux-mêmes: "Cher Jésus-Christ, nous sommes trop faibles pour renoncer au péché. Continue donc, nous t'en prions, de souffrir pour nous." C'est dire combien ils l'aiment...

Jésus a enseigné: "Tu ne tueras point" mais ses disciples ont maintenant résolu de passer outre: Ils ouvrent de grands abattoirs ultramodernes et perfectionnés et odieusement ils en viennent à dire: "De toute manière, si jamais c'est un péché, le Christ souffrira pour nous." Jésus-Christ peut effectivement racheter de sa personne les actes pécheurs que ses disciples avaient commis, mais ceux-ci doivent se montrer raisonnables, sincères: "Pourquoi Jésus-Christ souffrirait-il encore pour mes péchés? Je dois absolument y mettre fin."

Prenons le cas d'un homme -très cher à son père- qui commettrait un meurtre et dirait: "Si jamais on veut me punir, mon père paiera à ma place." Quand on l'arrête, il a beau dire: "Non, non, relâchez-moi et arrêtez mon père, il ferait tout pour son fils bien aimé", la police n'écoutera certainement pas cet insensé. C'est lui le coupable, mais il estime que son père doit être puni à sa place. Est-ce la un raisonnement sain? "Pas question, diront les policiers, c'est vous le coupable, c'est donc vous qui serez condamné." De même, vous devez souffrir personnellement pour vos actes coupables et non Jésus-Christ. C'est la justice de Dieu.

Jésus-Christ était un personnage des plus magnanimes, le fils de Dieu lui-même, Son envoyé sur terre. Irréprochable, il ne voulait que répandre l'amour de Dieu mais en retour les hommes l'ont crucifié. Quelle ingratitude! Ils n'ont pas été capables d'apprécier son message. Quoi qu'il en soit, il jouit de notre estime, et nous l'honorons comme l'envoyé de Dieu.

Certes, il a transmis un message qui tenait compte des circonstances particulières de temps et de lieu et qui convenait spécifiquement aux hommes auxquels il s'adressait. Mais il est sans aucun doute un authentique représentant de Dieu sur terre, et à ce titre nous le vénérons et lui rendons notre hommage.

Un jour, à Melbourne, lors d'une entrevue, des prêtres chrétiens m'ont demandé comment je concevais le Christ. "C'est notre guru leur ai-je dit, il enseigne la conscience divine, nous le considérons donc comme notre maître spirituel." Ils ont beaucoup apprécié cette réponse.

En vérité, on doit respecter comme guru celui qui répand les gloires de Dieu, et Jésus-Christ appartient au nombre de ces êtres exceptionnels. Nul ne devrait voir en lui un homme quelconque. Les Ecritures affirment que celui qui considère ainsi le maître spirituel fait preuve d'une mentalité démoniaque. Aurait-il été un homme quelconque Jésus-Christ n'aurait pu répandre la conscience de Dieu.

Par: Srila Prabhupada


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